Univers guilde Li-Crouchienne
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Lupusanguis

Lupusanguis


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MessageSujet: Sans titre 1    Sans titre 1  EmptyMar 30 Nov - 14:19

[HRP] Tout d'abord, je tiens à signaler que je ne suis qu'un débutant en Role Play, et que donc, je commets des erreurs, alors n'hésitez pas à me les signaler ! [/HRP]

18ème cycle... Ca y est, j'y suis enfin. J'ai atteint ce cycle, ce... niveau comme disent certaines personnes... Pour l'occasion, je suis allé m'acheter des bottes de Satisfaction à un marchand qui se trouvait à la porte d'Astrub, contre une petite bourse de kamas. C'est une sensation curieuse que j'éprouve lorsque je les mets, j'ai à la fois l'impression de perdre de la force, mais de devenir plus rapide, plus léger, plus vif.
Je profitais de ma visite à Astrub avant de rentrer chez moi, à Sufokia, pour y visiter le lac d'Heaunecarpe. La quiétude que m'apportait le bruissement de l'eau me réconfortais et m'apaisais.

* Crak *

Un bruit étranger attira mon attention. Je me retournais, et vit un troupeau de pious qui s'approchaient. Mon père m'avait montré à plusieurs reprises à quel point ces créatures sont des être inoffensifs, mais c'était une chose facile pour lui, du haut de ses 165 cycles... Je n'avais pas son expérience moi, j'avais peur... J'allais mourir de façon stupide, peureuse... Qu'allait penser mon père de moi ? Lui, adepte de la force brute, qui fonçait sans réfléchir bien souvent (ou alors qui réfléchissait, et finissait par trouver une idée stupide). C'était un puissant guerrier, je ne pouvais laisser son fils, moi, être ridicule et mourir devant de si petites créatures.

Je regardais les pious. Un semblait être plus puissant que les six autres qui l'accompagnaient... Je me devais de l'isoler pour mieux le tuer. Un 8ème piou qui avait échappé à mon regard s'était faufilé par derrière, et me martelait le dos avec son bec. C'est alors que je compris.


Que je compris que j'aimais être tapé.
Que je devenais plus fort, plus puissant lorsque je souffrais.
Que j'étais un sacrieur.

Je laissais le piou me piquer le dos, puis je l'étranglais avec mes mains. 5 autres pious subirent le même sort, mais je commençais à être réellement fatigué... Je ne pouvais combattre à moi seul les deux monstres restant... Je me souvint alors des bottes que j'avais acheté peu auparavant, je me sentais plus vif lorsque je les portais... Je les mis, et tenta de m'enfuir en direction du lac, la rapidité que me conférait les bottes me permettaient de courir plus vite que les créatures. Les pious, rageux de voir leur proie s'enfuir, firent dans un mouvement désespéré, un battement d'ailes, qui eu pour effet de les faire voler jusqu'à ma tête. Sans visions, je trébuchais, et tomba dans le lac.
J'allais donc mourir, noyer, dans un endroit de calme et de tranquillité.. Je sombrais petit à petit dans les profondeurs du lac, lorsqu'une voix résonna. Profonde, grave et calme à la fois.

L'eau sera ton élément, elle t'apportera quiétude, force et bonheur

J'ouvris les yeux, et vis une orbe scintillante devant moi, avec une carpe passé à côté.
Ma première pensée fut que le lac portait bien son nom. Je regardais ensuite l'orbe... Je n'avais jamais rien vu de tel, d'aussi beau... On aurait dit une goutte d'eau a l'état pur, enfermé dans un bloc de glace. Et cette orbe me parlait, me répétait inlassablement les mêmes paroles...

L'eau sera ton élément, elle t'apportera quiétude, force et bonheur

L'eau t'apportera force... Je me sentis revigoré, plein d'énergie, tel un nouveau-né. C'est peut être ce que j'étais finalement, un nouveau sacrieur, ayant trouvé sa voie. Celle de l'eau, de la pureté, de la tranquillité.
Je sentis en moi alors comme un nouveau pouvoir.. une nouvelle manière d'être, de combattre. La carpe qui tournait autour me mordilla, et acheva mes pensées pour me rappeler que j'étais en train de me noyer. L'énergie nouvelle, le bien être que j'avais à présent, me donna la force de remonter à la surface, et de grimper sur la berge. Les deux pious, heureux de voir leur proie revenir, foncèrent sur moi. Le pouvoir que j'avais sentis auparavant, se déclencha alors... c'est une chose dur à décrire... l'eau contenue dans le corps des pious, se retira, devint une sphère, et pénétra en moi... Je compris alors, ce qu'était et comment fonctionnait, ce que les grands maitres sacrieur appelait " dissolution ".

Je regardais les deux pious à mes pieds. Ils gisaient, sans vie, asséchés. Je me sentit grandir en même temps : j'avais atteint le 21ème cycle.

[HRP] J'ai désormais fixé le personnage principal ( un sacrieur empruntant la voix eau donc ) j'essayerai de mieux fixer la " famille " et le cadre spatial dans le / les prochains épisodes. Quelques fautes aussi, que j'essayerai de corriger.

Bubulle' /HRP]


Dernière édition par Liras le Mer 1 Déc - 14:56, édité 3 fois (Raison : Correction des fautes d'ortographes ^^ (Tilc est passée par là :p) (Liras aussi ^^))
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Tilcara

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MessageSujet: Re: Sans titre 1    Sans titre 1  EmptyMer 1 Déc - 1:12

[HRP] Hmmm on doit commenter ici ou t'envoyer un message sur le forum officiel ? bref... sur la forme revoit la syntaxe, parfois un peu bizarre, tes conjugaisons, confusion imparfait/passé simple, terminaisons à la mauvaise personne... Sur le fond, je trouve ça moyennement réaliste les pious à un cercle (oui moi je dis cercle) déjà élevé... à moins que le dernier ne soit un archi ? Razz Enfin je pense que je comprends pourquoi. Ah et pitié pas de niveau quoi...

ça sert à rien que je dise que j'attends la suite, vu que ce message sera supprimé... je dois dire que j'ai été bien déçue de voir que nos commentaires avaient disparus de la fic de volaide. Oh oui ce n'est pas le sujet effectivement.[/HRP]
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Lupusanguis

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MessageSujet: Re: Sans titre 1    Sans titre 1  EmptyVen 3 Déc - 0:41


De la culpabilité. C’est tout ce que j’éprouvais, en regardant les 8 tristes dépouilles qui m’entouraient. Toutes avaient désormais un air si innocent, si… si mort. C’était le seul mot qui me venait à l’esprit. Lorsque je les regardais, je voyais leur corps desséchés, dont les âmes étaient désormais hors de leur corps. Ces créatures qui m’apparaissaient farouches et violentes cinq minutes auparavant, me donnaient à présent un sentiment de regret, provoquaient en moi un malaise. Le fait d’avoir tué me donnait la nausée. Je tournais la tête, désireux d’échapper aux regards sans vie, mais accusateurs des créatures qui me faisaient face.
Cet incident avait gâché ma joie d’avoir atteint le vingt-et-unième cycle. Je regrettais presque de l’avoir atteint maintenant. Je désirais retourner à Sufokia, voir mon père. Lui saurait me changer les idées. Je me mis à marcher en direction du zaap, en prenant soin d’éviter le regard des pious qui m’entouraient. Une vieille superstition Amaknienne disait que les créatures savaient lorsqu’une d’entre elles mourrait… compte ou réalité, je préférais prendre mes précautions. En arrivant sur la place, je sortis ce qui me restait de kamas, et payais le passeur. Un instant plus tard, je me trouvais sur le bord du rivage Sufokien. Mon père m’attendait là, soucieux de voir dans quel état j’allais revenir de mon voyage à Astrub. Il s’attendait à une ou deux égratinures causées par des passants maladroit, mais quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit dans quel état j’étais : trempé, avec du sang qui dégoulinait de mon dos.

- Fils ! Qu’a tu fais ! Une simple expédition à Astrub ! On n’y trouve que des marchands de babioles et des pious ! s’exclama il en regardant ma blessure. Comment peux tu en revenir trempé avec une blessure ?!

Sans me laisser le temps de donner une quelconque explication, il me tourna, et examina mon dos. Il n’était pas éniripsa, mais ses nombreux combats lui avait permis d’acquérir quelques notions de médecine. En fait, il savait que les feuilles de kalyptus étaient bonnes pour accélérer la guérison des blessures. Ce que n’importe quel passant savait. Après qu’il ai appliqué… délicatement les quelques feuilles qu’il avait sur lui, il repris :

- On dirait une blessure de combat ! Si c’est le cas, j’espère que tu t’es battue avec honneur et courage, comme tout bon iop se doit de le faire !

Aie. J’avais oublié que depuis ma naissance, je tienne de lui, et non pas de ma mère, qui l’avait quitté après m’avoir mis au monde. Voilà une chose qui n’allait pas le rendre heureux. Mon récit n’allais pas arranger les choses. Mais il avait aimé ma mère, et ce n’est pas ma classe qui allait tout changer… du moins je l’esperais.

- Père ! J’ai plusieurs choses à te dire !

- Dit mon fils, je t’écoute ! raconte moi ce qu’il est advenue.

- J’étais à Astrub, je venais d’acheter des bottes de poursuites pour le dernier cycle que j’ai pris avant de partir. Je suis ensuite allé à ce lac où tu m’emmenais que j’étais petit, le lac d’Heaunecarpe. Je profitais de la quiétude de cet endroit, mais un groupe de pious m’a attaqué. Je sais que ce sont des bêtes facile à tuer pour toi, mais je n’ai pas autant de cycles que toi !

- Viens en au fait !

- Oui… j’allais me défendre contre les sept qui me faisaient face, mais un huitieme avais échappé a mon regard, et est venu m’infliger la blessure que tu vois dans mon dos. J’ai réussi à l’étrangler, lui et 5 autres, mais j’étais fatigué… j’ai mis les bottes pour m’enfuir, mais j’ai trébuché, et suis tombé dans le lac. Je me sentais mal, je n’arrivais plus à me défendre, je coulais sans avoir la force de remonter à la surface… C’est alors que la voie, ou plutôt la sphère m’est apparue. Elle était d’un bleue, si pur, si… si profond…

- Une sphère… La sphère ! Celle qui se révèle aux sacrieurs lorsqu’ils trouvent leur classe, et leur indique alors leur élément ! Tu tiens ça de ta mère ! C’est moi qui t’ai élevé toutes ces années, qui t’ai appris à tisser, à pécher et autres… Je t’ai enseigné honneur courage et morale, et voilà qui tu te révèles sacrieur… Cela est dur, mais tu restes mon fils. Un père se doit d’aimer ses enfants. Continue ton récit !

- Bien père. J’ai donc compris que l’eau était mon élément… j’avais entendu parler de la dissolution, un des sorts sacrieur… j’ai compris comment il marchait, et l’ai utilisé de façon quelque peu… inconsciente, et j’ai ainsi achevé les deux pious restants. Mais tu savais à quel point je me sentais coupable après, un sentiment de culpabi-

- Pardon ! De la culpabilité pour avoir tué ! Que ne faut-il pas entendre ! Ô dieu, qu’ai je fais pour mériter ça ! Tu es un fils indigne ! La pitié n’est pas face à des monstres ! Toi sacrieur qui te délècte du sang, c’est un comble ! Même ton infidèle de mère aurait honte de toi ! Hors de ma vue, je te renie !


Une série de bond l’éloigna de mon champ de visions. J’étais abasourdie, je pensais que ma classe le décevrais, non pas mes sentiments. Pour le deuxieme fois de la journée, le sentiment de regret, de culpabilité m’envahie. Je n’avais pas été à la hauteur des espérances de mon père. Je me dégoutais moi-même, je me trouvais bas et sans valeur. Des valeurs que pourtant, pendant des années mon père avait, en vain apparemment, tenté de m’inculquer. Je ne désirais alors qu’une chose, m’enfuir, et ne plus être moi.

[/[HRP] Cette épisode, je pense que vous l’aurez compris, à pour maître mot « culpabilité « . Si vous ne savez pas ce qu’est un maitre mot, je ne peux que vous recommender d’aller lire « Ellana « de Pierre Bottero ( R.I.P. )[/HRP]


Dernière édition par Sacri-traque le Sam 4 Déc - 12:33, édité 3 fois (Raison : fôtes)
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Lupusanguis

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MessageSujet: Re: Sans titre 1    Sans titre 1  EmptySam 4 Déc - 1:04

J’avais passé l’après midi à réfléchir. A chercher où trouver mon père, afin de lui expliquer mes peurs. Peut être comprendrait il alors mieux ? Tout du moins, je l’espérais… Je savais qu’il allait fréquemment à la taverne de Sufokia, pour y boire un verre ou deux. Celle-ci n’ouvrant que la nuit, j’attendis que cette dernière fut tombée et Sufokia plongé dans l’obscurité. J’entrais dans la taverne, et du premier regard, j’aperçu mon père. Il était complètement abrutie, étant donné les quantités de bières de bwork qu’il avait du ingurgité. Je m’approchais de lui, dans l’espoir qu’il comprendrait mieux maintenant, avec un peu de recul. Mais pas du tout ! Il ne me reconnu même pas et me pris pour un parfait inconnu. C’était une sensation étrange, de voir son père ne pas reconnaitre son fils… on a l’impression de n’être qu’un fantôme, invisible aux mortels. Je m’assis à côté sur ce qui me paraissait être une chaise et entreprit de regarder autour de moi.

Cette taverne méritait bien sa réputation, c’était un d’endroit de débauche, où les bières coulaient à flot, et les gardes fermaient les yeux, trop heureux d’avoir un endroit comme celui-ci où se détendre après le service. Tout s’achetait et se vendait ici, de simples informations sur un pirate disparu, jusqu'au meurtre du roi Allister – soit dit en passant, toutes les tentatives avaient jusqu’ici échouées –.

La taverne semblait être plus active que d’habitude ce soir là, les bagarres et disputes éclataient à chaque table, les ecaflips arnaquaient la majorité des joueurs présents aux jeux de cartes, et les pandawa étaient déjà tous à terre.
Seule une personne se tenait assise, sous les escaliers qui conduisaient au premier et deuxième étage. Entièrement vêtu de noir, je ne parvenais qu’a voir ses mains qui dépassaient de ses manches et tenaient une bière que la personne fixait d’un air perdu. J’étais tant intrigué par cette silhouette, qui semblait cachée et secrète, que je n’entendis pas le bruit que fis mon père en tombant sur le sol, ivre mort. L’inconnue quand à lui ou elle, elle il me paraissait, la silhouette était svelte et féminine, l’entendis parfaitement, et s’arracha de ses pensées, et regarda mon père qui gisait à terre. Seuls ses yeux m’étaient visibles, mais cela me suffit pour voir à quelle point elle paraissait surprise, et paniqué de voir mon père ici. Après quelques secondes, elle me regarda. L’air surpris et paniqué que ses yeux affichait était désormais bien visible. Elle se leva d’un bond, et me fit discrètement signe de la suivre. Elle sortit par la porte de dehors, s’engouffrant dans la pénombre de la nuit.

Je me demandais si je devais la suivre, comme elle me le demandait. Je regardais mon père une dernière fois, jugeais qu’il s’en sortirait seul, avec une bonne gueule de bois le lendemain matin, mais sans plus. Je m’aventurais donc à mon tour à la suite de l’inconnue. Une fois sortis, l’odeur de poissons mort qui sortait de la piscine à pichons envahie mes narines. Je cherchais du regard la silhouette, sans parvenir à la trouver. Les vêtements de couleur sombre qu’elle portait n’étaient pas fait pour me simplifier la tache : tout ce que j’apercevais était des pécheurs tardif, croyant surement à la vieille légende comme quoi ça mordait mieux la nuit.

Un piaffement de corbac attira mon attention au dessus de moi, sur le toit de la taverne plus exactement. Je vis trois ou quatre corbac s’envoler à tire d’ailes dans les rayons de la lune. Lune dans laquelle se découpait la silhouette de l’inconnue, le regard porté au loin. J’arrivais également à distinguer vaguement les courbes d’un arc accroché à son dos. Le bois dans lequel il était taillé m’étais inconnue, tout du moins je n’arrivais pas à le reconnaitre. Probablement du à la pénombre de la nuit qui altérait ma vision.

Je voulu commencer à grimper, mais ce n’était pas chose facile malgré les nombreuses prises, le froid mordant gelant mes articulations. Je tendis mon bras droit vers le haut, m’accrochait à une poutre dont l’extrémité dépassait de la structure de la taverne, m’accrochait, puis fit de même avec mon autre bras. Je me hissais vers le haut lorsque la blessure dans mon dos se ré-ouvra. J'avais peut être compris le principe de la dissolution de l'ennemie, et je savais qu'il me plaisait de soufrir, mais je ne savais comment en tirer partie afin d'augmenter ma force...
Toujours est il que je me hissais jusqu’au deuxième étage de la taverne. Mon pied droit se posa sur un tronc qui dépassait, mais le gauche dérapa sur.. les besoins d’un des corbacs qui s’y trouvait auparavant. J’aurais du à ce moment tomber et m’écraser au sol. La silhouette que j’allais rejoindre avait bougé - Dieu qu’elle était agile, elle avait fait ça avec une rapidité incroyable - et me retenait par le bras. Suspendu dans le vide avec pour seul secours une inconnue, je cria. Pourtant, sans effort apparent, elle se hissa jusqu'au toit à la force d’un seul bras, et moi avec.

Ses acrobaties avait eu pour effet de dégager sa capuche, et son visage était désormais exposé aux rayons de la lune. J’arrivais donc à présent à le distinguer. Je voyais des yeux bleus, les mêmes que les miens. Je voyais des cheveux, qui semblaient être les miens. Je voyais un visage qui me ressemblait, sans être moi et dans une version plus… féminine et plus vieille.

Je voyais ma mère.

Je le compris instantanément. Cela me paraissait incroyable, de voir cette personne, ma … mère pour la première fois, dans une situation si étrange qui plus est. Je passais plusieurs secondes à la dévisager, à enregistrer chaque détail de son visage. Ce fut elle qui rompit le silence, d’une voix calme et posée.

- Il me semble que je te dois quelques explications non ?




Dernière édition par Liras le Dim 5 Déc - 12:52, édité 1 fois (Raison : Orthographe =P)
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MessageSujet: Re: Sans titre 1    Sans titre 1  EmptyDim 6 Fév - 14:54

[HRP] J'ai honte de pas avoir continuer encore :X . La suite est disponible ici :p [/HRP]
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