Tidus et l'étrange Wabbit'sss

Messages : 21 Date d'inscription : 24/06/2010

Intro :

Le p'tit jour chez les chti Wabbit :

Que du bonheur se dégageait dans la démarche décidée du petit être qui s’enfonça dans le pays le plus tendre et Doux du monde des Douze. Rien ne pouvait l’arrêter, ses yeux pétillaient d’envie de revoir enfin ça sœur. Ca faisait si longtemps qu’il attendait se moment, il s’apprêtait a passer la porte du monde des Wabbits quand soudain intervient un Plouc.

-Ay, petit may où vas-tu commeuh ça ? Alley montre moi ta carte d’identitey.

-Tenez m’sieur…

-Hum…

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-Hein ?
-Bon, tu a peut être changey, may a ce point… Tu pey m’expliquey ce que tu veuy faire au Pays de Wa…de Wa… biiii…

-Des Wabit M’sieur ?

-Oui oué c’est ça…

-Ba, a vrai dire j’y vais pour aider ma sœur dans son élevage de Lapinou.

-Bon c’est bien parce que tu es… hum.

Le gardien de l’entrée regarda de nouveau la carte du jeune féca.

-C’est bien parce que tu es Patrick que je te laisse passer. Aller va tant…

*Hum… c’est pas un Iop pour rien* Il repris ça démarche tout en riant de sa farce.

Après plusieurs heures de petits chemins et de sentiers, le premier village apparu comme mirage dans la tête du Féca. Assommé par la chaleur, le petit n’avait jamais eu aussi soif et faim que aujourd’hui.
Le village n’était autre que trois maisons de vieux couples d’éleveur de cawottes, et comme tout village qui se doit d’être dans le monde des douze, celui-ci avais sa taverne, ces habitués et ces bagarres.

Le féca attirer par l’odeur de la bière entra tel un monstre dans le bâtiment. Des chaises grinçantes, des tables bancales et un barman repoussant. Rien d’inquiétant. En revanche, ce qui était assez étrange, a 20 heures tapantes, il n’y avait que trois pauvres personnes allongées par terre. D’ailleurs il n’y avait que eux et le vieux gars qui étais là pour servir les bières.

Tidis, le petit féca, aillant horreur des tavernes mortes décida d’en ressortir mais pas avant d’en avoir goûté leurs cervoises.

L’Ecaflip de la Taverne :

Le porte de la taverne grinça, le silence brisé par les petites pâtes vives et agiles
Une bête douce approcha du barman nommé « Franck ».
D’une voix mélancolique, la sorte de gros Chat noire grogna en s’approchant rapidement :

-Un Lait-lait mon ami. *Il s’assit puis remarqua la présence du petit.
Les yeux de L’écaflip étaient ovales, perçant et très intimidants, de ça couleur verte son iris nous faisait parvenir la forêts d’astrub, ses chênes et châtaignés reposant sur l’herbe clair mangée par les bouftous.

Le barman prit un pichet puis disparu dans l’arrière du bâtiment. Tidus n’avait jamais vu une tel créature et en était terrifié. Il l’observait, riant intérieurement de ces longues moustaches qui le grattait sans cesse. Le dévisageant totalement, il pu constater une grande brûlure partant de son oreilles gauche et descendant, descendant jusqu'à ce que sa culotte apparu dans son chant de vision. *Mais…Hein ?

-Ha !

-Quoi. répondit le chat. Il sentait que l’individu le regardait, habitué d’être une bête d’exposition, celui-ci ne réagissait plus à un tel comportement.

-Eh, j’ai jamais vu quelque chose d’aussi bizarre…enfin je veux dire une personnes qui l’apparence d’un chacha. Vous êtes quoi au juste ? *Oopps ça m’a échappé*°

-Un écaflip jeune Féca ! Tu sais ce qui me ferais le plus plaisir de ce temps là ? Tu sais, tu sais ?... Hein tu sais ?

-Non. murmura le petit terrifié par l’énergie soudaine du féca.

-Un petit « 421 ». Le But n’est pas bien compliqué, il faut qu’avec ces trois dés là… Hum attend je vais chercher les dés et la règle du jeu aussi…
L’éca sauta de la chaises et rebondis avec tel vitesse et perfection. A peine le temps de soupirer que le voici de retour.

-Installons-nous sur la table des champions. Il s’empressa et prit le petit par la main pour le diriger vers « la table de jeu du Village ». Il lui donna d’un geste vif le papier des règles du jeux. Franck réapparu avec du lait-lait a la main. Il s’approcha lentement de ça démarche lourde et adroite pour ensuite poser le pichet sur la table ou était installé les deux joueurs.

-Merci mon amis. De cette phrase, le barman reparti mais cette fois ci a l’étage. Pour ça, il emprunta un vielle escalier en chêne massif qui couinait à chaque fois que celui-ci posait son pied sur une marche.

-Reprenons ! D’un air presser il donna les dés a Tidus en lui enlevant les règles avec l’autre main.

Que la partie Commence !

Tidus lança les 3 dès, ils tournent, tournent puis s’arrête en faisant un 1 chacun. Le féca souriant prit d’un geste vif les dés pour qu’ils fassent par la suite 4,2,1.

-Gagné ! On en refait une ?

Il constata sur le visage du jeune que l’envie n’était pas là.

-Bon, ce n’est pas grave.

Puis il s’appropria le jeu et le ré emmena dans l’arrière du bâtiment. Il arriva vers le garçon encore assis à la table de jeux et voulu en savoir plus sur certaines choses :

-Alors que fais-tu dans le pays ? Tu recherche quelque chose peut être ? Hum, tu es venus voire l’étrange bêtes ?

-Hein ? L’étrange bête ? Et non je suis venu voire ma sœur. D’ailleurs la nuit tombe et je n’ai toujours pas d’endroit où me reposer. *a tout les coups il va m’inviter*
Au faite, quel est ton nom ?

-Milou mais aussi Mimi pour les intimes. Vient chez moi si tu veux, maman aura préparé un lait-lait et un petit gâteau. Le seul souçi c’est que l’on as que deux lits, tu devras dormir avec maman ! … bah ? Il est où ?

Tidus c’était échappé pendant que celui-ci lui annonçait les conditions d'hébergement, il couru tellement vite qu’il s’épuisa avant même de n’avoir franchi la porte. Milou regarda la porte qui n’était pas refermé.

*Cour, cour, mais où je vais dormir moi maintenant ? Halala, me voilà bien beau* Des ses petites jambes, il traversa le village et reparti en empruntant un chemins en pavé. Il s’enfonça très vite dans la forêt alors que ça faisait plus d’une heure que le soleil avait disparu. Un panneau interrompu sa course.

-«Auberge Du vieux Parchemin à 500 pieds de wabbit’s a droite ». Le petit n’hésita une seconde.

L'aventure commence ! Je m'appelle Tidus, et je vais vous racontez mon histoire !

Tout a commencé quand j'ai ouvert la porte de l'auberge, mes premiers pas furent timides et craintifs. Le lieu n'inspirait pas confiance, le Hall d'entrée était presque vide, seul un tapis devant une table colorait la salle de son rouge noircit par le temps. Ma démarche devint plus décontractée quand je remarqua un individu tout près d'une bibliothèque. Je n'osai faire de bruit, je ne voulais surtout pas qu'il me voit ! Le craquement du parquet et la vieille personne se retourna et constata ma présence. Il remit les livres qu'il avait dans ses mains puis s'avança vers moi. Ces yeux étaient d'un bleu éclatent, son sourire était bien présent, mais quel sourire ? Quel impression en voyant cette bouille de vieux enutrof qui avait les larmes aux yeux, mais pourquoi...
De ça voie usé par le temps, il me demanda :

-C'est pour, Monsieur ?

*Humm, il me demande quoi là ?*
-Euh, c'est pour une chambre !

-D'accord, je vous apporte une clé de suite.
L'Enu se dirigea vers la table où était disposé les clés, vu de loin, il n'y avait aucune chambre d'occupé. Le revoilà, il s'empressa de me dire ça phrase type d'accueil :

-Hum Hum, Cher voyageur, merci de prendre une chambre chez nous ! Nous sommes a votre disposition... enfin je suis a votre disposition en cas de souci ou autres. Je vous pris de me suivre.

Nous montèrent des escaliers qui donnait place a un long et étroit couloir ou y était accroché des tableaux, certainement des anciens propriétaires ! La moquette recouvrait la totalité du sol, de couleur marron, certainement pas ça couleur initial. Je suivait encore le petit homme qui n'avançais pas bien vite. Puis, soudainement il s'arrêta et d'un geste pas très vif mit son bras de tel sorte de me stopper. "Chambre 401", drôlement bizarre pour une Auberge a dix chambres a tout casser.

*Cliccc* La clé ne rentrait pas dans la serrure qui, il me semble, avait la moitié du trou habité par une belle araignée logé depuis des décennies ici.

*Oo* *OOO* *le papiiiii* !!! D'un coup de pied violent il força la porte puis ressorti la clé du trou.

-Vous n'en aurez plus besoin maintenant ! Bonne nuit. Le vieux parti le sourire au lèvre et apparemment le cigare aussi !

Une pièce, une maudite pièce meublé d'un placard et un matela par terre. *Et bien, super*, fatigué, je ne fit pas attention au murs insalubres qui regorgeaient de trous pour abriter les rats de la mocheté de la chambre *Oo*

Je m'effondre brusquement sur la chose par terre, mes yeux commencèrent a se fermer automatiquement, ne plus voire le plafond lézarder serait un plaisir...un plai... rhoooo pchiiiiittt.......

Le lendemain, matin je suppose *et oui il n'y a pas de fenêtre dans ma chambre* le vieux Enu ouvrit la porte effrayer.

Le Wawa... Le WaBIIIIITTTTTTTT est tout près. Moi même encore allonger et pris de sursaut au réveil, je me leva énervé en direction du papi pour savoir pourquoi un tel vacarme !

Le papi sautillait de partout en répétant *on va tous Mouwwiirr*, il semblait que ce certain Wabbiitt est une très mauvaise répercution mental sur celui ci. Puis il changea son discours, et ça devient tout d'un coup plus intéressant.

Il commença a m'expliquer qui était ce Wabbiiiiiiiiiiiittttttttttttttt !!!!